mise en danger des libertés

30 novembre 2015
ALDEAH et autre collectifs
Dans le cadre de l'état d'urgence décrété par l’État français dès le lendemain des attentats de Paris (et qui a été prolongé jusqu'au 26 février 2016), tous les moyens sont dorénavant jugés légitimes pour "maintenir l'ordre". Perquisitions et mises en garde-à-vue abusives, annulation de rassemblements pacifistes, violences policières contre les manifestants hier à Paris... la liste des exactions est longue et inquiète toute la société civile. SystExt s'associe à un appel lancé par l'association ALDEAH et soutenu par de nombreux collectifs pour dénoncer la criminalisation des milieux alternatifs et militants.