Anciennes activités minières de la vallée du Biros : pollutions en héritage, leur gestion en devenir
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1. Des gisements perchés aux cimes
Les vallées d’Aran en Espagne, et du Biros en France, ont leurs sommets en commun, qui forment la frontière entre les deux pays. C’est dans les flancs de ces montagnes que des filons riches en zinc et en plomb (i) ont été exploités industriellement à partir du milieu du XIXème siècle, dans le secteur minier de Sentein, en Ariège. Situées sur le versant catalan à 2300 mètres d’altitude, les mines d’Urets ont été en activité quelques décennies jusqu’à la première guerre mondiale. A 2000 mètres, celles du Bentaillou, côté français, ont été exploitées pendant plus d’un siècle jusqu’en 1963 (ii) [1].
Mines d’Urets | SystExt · Juillet 2021 · cc by-sa-nc 3.0
2. Galeries, chemins de fer et téléphériques : des infrastructures en nombre
Les mines d’Urets ont eu une expansion relativement limitée des années 1890 à 1923 (iii) [2] [1] [3], avec le creusement de quelques galeries d’envergure. De 1848 à 1963, les mines du Bentaillou ont connu plusieurs périodes d’activité entrecoupées d’arrêts. Après les premiers travaux d’exploitation en surface à Chichoué, ce sont au final plus de 10 kilomètres de galeries [4] qui ont été creusées sous la montagne du Bentaillou, puis celle de Rouge (iv) [1]. Tout le minerai était acheminé à la laverie d’Eylie, située 1000 mètres plus bas dans la vallée du Biros, par des systèmes de transport étendus, basés sur des voies ferrées et surtout des kilomètres de câbles aériens sur pylônes [1].
Baraquements des mines de Bentaillou depuis l’entrée de la galerie "Narbonne" | Thierry Llansades - utilisateur de flickr.com · Janvier 2014 · cc by-nc-nd 2.0
3. Des conditions particulières pour les mineurs
Des bâtiments sont édifiés dès les années 1850 pour accueillir les différents ateliers ainsi que les logis des dizaines de mineurs (v) [2]. Au caractère dur et éprouvant du travail de mineur s'ajoutent pour ces sites les conditions hostiles de la montagne, qui limitent les possibilités d’exploitation autour des périodes estivales pour les mines d’Urets, et qui compliquent les activités au Bentaillou l’hiver. Il est arrivé que la neige oblige les mineurs à sortir de leurs baraquements par les toits, voire qu’elle les empêche d’atteindre l’entrée de la mine pendant plusieurs jours [2].
Haute vallée du Lez vue depuis Bentaillou sur Rouge | Cliché Rouzaud · entre 1920 et 1940 · Conseil Départemental de la Haute-Garonne - Archives départementales - Cote 20 FI PV 6837
4. Une usine au centre d’une exploitation industrielle : la laverie d’Eylie
Le minerai extrait contenait de l'ordre de 10% de sphalérite et de 3% de galène (i) [1]. Avant expédition vers les usines du Pas-de-Calais et d’Aveyron pour raffinage [5], le minerai devait subir des opérations visant à concentrer ces deux minéraux d'intérêt. C’est à Eylie, dans l’usine dite du "bocard", située en bordure de la rivière du Lez, qu'ont fonctionné pendant un siècle diverses installations de traitement du minerai. Certaines ont été novatrices pour leur époque, comme des lignes de flottation (vi) [1]. Du million de tonnes de minerai brut (vii), la laverie a produit ainsi l'équivalent d'environ 125 000 tonnes de métal [1].
Tables à secousses (méthode de traitement gravimétrique) dans l'ancienne laverie d’Eylie | B. Bergnes pour SystExt · Juillet 2021 · cc by-sa-nc 3.0
5. Des quantités considérables de résidus miniers
Après concentration des minéraux d'intérêt, d'importants volumes de déchets étaient générés sous forme de boues : les résidus de traitement du minerai. La laverie en a produit tout au long de son fonctionnement, pour une quantité totale estimée à 400 000 m³ (viii) [1]. Ces déchets présentent des concentrations significatives en zinc et en plomb, mais aussi en d’autres substances qui les accompagnaient dans le gisement, telles que l’arsenic et le cadmium (ix). Ils ont été amoncelés en plusieurs dépôts autour de l'usine. Mais leur évacuation a aussi été faite par déversement volontaire dans le Lez, pratique qui n'a été formellement interdite que près d'un siècle après le début de l'exploitation, en 1943 [1].
Dépôt de résidus miniers "amont laverie sud", volume estimé à 60 000 m3 [1] | B. Bergnes pour SystExt · Juillet 2021 · cc by-sa-nc 3.0
6. Un déclin inéluctable et des installations abandonnées
Le complexe minier de Sentein périclite avec la chute des cours des métaux, à laquelle s'ajoutent des facteurs structurels, tels que : la diminution progressive des teneurs, les difficultés d’extraction du minerai, et le sous-dimensionnement des installations de transport du minerai vers la laverie. Les activités d’exploitation à une échelle industrielle cessent en 1953 (ii) [1]. Des travaux de recherches complémentaires sur le site de Rouge, et de vaines tentatives de reprise d’exploitation sont réalisés par à-coups jusqu’en 1975, date à laquelle toutes les activités cessent définitivement. La Société française des mines de Sentein est mise en liquidation judiciaire cette même année, et la quasi-totalité des installations et des infrastructures sont abandonnées. La concession devient orpheline, et l’État devient alors responsable des dommages qui pourraient en être à l'origine (x).
Ancienne laverie d’Eylie | B. Bergnes pour SystExt · Juillet 2021 · cc by-sa-nc 3.0
7. De l'inventaire des déchets miniers à l'étude sanitaire et environnementale
Dans le cadre de l'inventaire des déchets miniers en France métropolitaine, l’État a fait procéder en 2010 aux recensements concernant 5 concessions minières localisées vers le sud-ouest du département de l'Ariège (xi) [1]. Ces travaux ont conduit à classer ce secteur dans la catégorie la plus haute en termes de risques potentiels pour l’environnement et la santé humaine (xii) [6]. Mandatée par les autorités, GEODERIS a réalisé une étude sanitaire et environnementale de 2013 à 2015 sur la zone, incluant les 4 concessions présentes dans le bassin versant du Lez (Irazein, Orle, Le Bulard et Sentein) [1]. Un recensement des installations, des zones d'exploitation et des sources de pollution a ainsi été réalisé, et de nombreux acteurs du territoire ont été rencontrés : collectivités locales, organismes administratifs, chambres consulaires, groupements agricoles, citoyens. Ces recherches ont permis de caractériser les sources de pollution, d’identifier des zones contaminées et de décrire les mécanismes de transfert des pollutions. L'étude a aussi émis de nombreuses recommandations sanitaires concernant des parcelles publiques ou privées contaminées par des substances métalliques, principalement par le plomb et par le zinc.
Pancartes d’information du public sur les risques associés aux pollutions minières, site de l'ancienne laverie de La Plagne (xiii) [1] | B. Bergnes pour SystExt · Juillet 2021 · cc by-sa-nc 3.0
8. Le Lez, vecteur de la pollution dans la vallée du Biros
Il est estimé que la moitié du volume des déchets générés par la laverie d’Eylie, soit 200 000 m³, a été emportée par les eaux du Lez tout au long du siècle de fonctionnement de l’usine (viii) [1], provoquant une contamination de ses berges. C’est le cas par exemple, à Bonac, 6 km en aval de la laverie, où l’élargissement du lit a favorisé la sédimentation naturelle des matériaux résiduaires, phénomène accentué depuis l’aménagement d’un barrage hydroélectrique dans les années 1940 [1]. Des concentrations élevées en plomb et en zinc ont été mesurées sur toute la plaine alluviale du Lez jusqu’à une distance de 12 km en aval d’Eylie [1]. Certaines analyses montrent parfois des concentrations supérieures au gramme par kilogramme de sol, soit plusieurs dizaines de fois les valeurs de l'environnement local témoin (xiv) [1]. Il subsiste aujourd’hui à proximité du bocard encore 200 000 m³ de ces résidus miniers, sous forme de 4 dépôts dont 2 semblent encore à ce jour sujets à des phénomènes d’affouillement [1]. Le mécanisme de contamination est donc aujourd'hui toujours à l’œuvre.
Le Lez, passant au pied du dépôt de résidus "amont laverie sud" | B. Bergnes pour SystExt · Juillet 2021 · cc by-sa-nc 3.0
9. Une volonté de transparence et des actions d’envergure
À la suite de la publication de l’étude sanitaire en 2015, l’État a réalisé de nombreuses actions [7]. En 2016, un dépistage, conduit par l'Agence régionale de santé, ne met pas en évidence aucun cas de saturnisme, mais le "faible taux de participation" de la population locale (14 %) ne permet toutefois pas d'en "exclure" l'existence [8]. Des prélèvements sur plusieurs animaux pâturant dans les estives autour des anciens sites miniers font état de présence de cadmium supérieure aux normes, et conduisent les autorités à restreindre la commercialisation d’abats [9] [10]. En 2016, sont aussi réalisés des travaux de réhabilitation à l’école primaire et au centre de loisirs de Sentein, pour supprimer l’exposition au plomb dans leurs cours respectives. Par la suite, ce sont plusieurs installations et zones qui ont fait l’objet de travaux coûteux de mise en sécurité, par exemple l'évacuation héliportée et le traitement de transformateurs électriques des sites de Bentaillou et de Rouge, ainsi que la mise en sécurité d'une émergence minière à Bentaillou (xv) [11] [12].
Cours de l'école de Sentein. Pour éviter l'exposition des enfants au plomb, le sol a été recouvert en 2016 par une trentaine de centimètres de matériaux et de terre végétale rapportés [11] | E. Feyeux pour SystExt · Juillet 2021 · cc by-sa-nc 3.0
10. Des impacts aujourd’hui minimisés ou ignorés
Du sentiment général dans la vallée, les conséquences des activités minières ont été mises en lumière par l’État, et ce qui pouvait être fait pour les gérer semble l’avoir été. Subsistent une certaine nostalgie du passé industriel et le sentiment que l’opportunité de mettre en valeur ce patrimoine exceptionnel n’a pas été saisie, comme d’autres ont su le faire ailleurs. Il est sans conteste connu l'existence de risques liés au passé minier, qu'on sait décrits dans de volumineux rapports. Mais ces risques côtoient d'autres réalités plus concrètes, comme le fait que les anciens d’aujourd’hui sont les jeunes d’hier qui avaient pour terrain de jeux les dépôts de résidus miniers d’Eylie. La commune de Sentein envisage l’aménagement d’un nouveau groupe scolaire, qui serait situé sur le terrain immédiatement voisin de celui de l’école actuelle. Par ailleurs, il n’y a plus de prélèvements de contrôle sur les animaux. De plus, le foncier privé concerné par des recommandations sanitaires ne semble pas être connu. Alors que beaucoup a été entrepris pour caractériser les problématiques "après-mine" du secteur de Sentein, les enjeux sanitaires apparaissent aujourd'hui sous-estimés et leur gestion sur le long terme n'est pas appréhendée.
Retenue d'eau de Bonac et son barrage pour la production hydroélectrique. Les sédiments qui s'y trouvent contiennent des concentrations notables en plomb et en zinc (xvi) [1], provenant des résidus miniers de la laverie d'Eylie située 6 km en amont. Ce site est aujourd'hui aménagé en zone de loisirs. | A. Calmet pour SystExt · Juillet 2021 · cc by-sa-nc 3.0
► Notes
(i) Les minéraux d'intérêts sont la sphalérite (sulfure de zinc) et la galène (sulfure de plomb).
(ii) La concession de Sentein a été octroyée le 25 septembre 1848. Les premiers travaux d'exploitation datent de 1853. L'année 1953 marque la fin de l'exploitation industrielle du minerai, du fait de l'épuisement des filons. Des travaux de recherches d'extension des zones minéralisées ont été entrepris sporadiquement et ont donné lieu à une petite activité d'extraction entre 1962 et 1963 [1].
(iii) Le minerai extrait d'Urets en Espagne a été traité dans les laveries situées en France (La Plagne puis Eylie) jusqu'en 1914. La guerre a entraîné la fermeture de la frontière, ce qui a compliqué les conditions d'exploitation, au point qu'elles ont définitivement cessé en 1923. Une des zones du site d'Urets a été exploitée selon la méthode des chambres et piliers [2].
(iv) Les sites d'extraction de la concession de Sentein forment schématiquement un alignement de 3 grands chantiers : Chichoué vers 2000 mètres d'altitude, Bentaillou vers 1800 mètres, et Rouge vers 1600 mètres [1].
(v) L'effectif moyen sur Sentein était de 230 personnes pour la période allant de 1878 à 1884 [2].
(vi) La société espagnole Compagnie royale asturienne des mines met en place un traitement du minerai par flottation en 1923 dans la laverie d’Eylie [1].
(vii) Parmi le million de tonnes de minerais traité dans la laverie d'Eylie, 98 000 tonnes provenaient de la mine du Bulard, de la concession du même nom. Située au sommet de la vallée d'Orle (voisine de celle du Biros) à la frontière franco-espagnole, cette mine de zinc et plomb a été exploitée de 1900 à 1918 [1].
(viii) Environ 800 000 tonnes de résidus miniers ont été produits à Eylie (soit un volume d’environ 400 000 m3). Il persiste sur site environ 200 000 m3 de résidus. GEODERIS estime que plus de 200 000 m3 de matériaux résiduaires ont été transportés par le Lez entre 1855 et 2004 [1].
(ix) À des fins de caractérisation des dépôts miniers, GEODERIS a réalisé des prélèvements de matériaux et fait procéder à des analyses de plusieurs dizaines de paramètres physico-chimiques [1]. S'agissant par exemple des 4 prélèvements du dépôt de résidus miniers "amont laverie nord", les concentrations maximum suivantes ont été mesurées : 165 mg/kg en arsenic ; 135 mg/kg en cadmium ; 40 700 mg/kg en plomb (4%) ; 49 500 mg/kg en zinc (5%) [1].
(x) D’après l’article L.155-3 du code minier, en cas de disparition ou de défaillance du responsable d’un titre minier, l'État est garant de la réparation des dommages causés par son activité minière.
(xi) Cet inventaire des déchets miniers, réalisé en application l’article 20 de la directive européenne 2006/21/CE, a été mené sur les concessions minière du Bulard, d'Irazein, de Melles, d'Orle et de Sentein [1].
(xii) L'examen selon divers caractéristiques des dépôts miniers conduit à l'attribution des "scores de risques" pour l'environnement d'une part et la population d'autre part, puis le croisement de ces scores permet de classer le risque "environnement-population" selon 6 critères [6] allant du moins significatif A ("Secteur ne présentant pas de risque significatif pour l’environnement et la santé humaine. Il ne nécessite ni surveillance, ni étude particulière") à E ("Secteur susceptible de présenter un risque significatif pour l’environnement et la santé humaine, et qui nécessite une étude environnementale détaillée urgente si elle n’a pas déjà été réalisée. Des mesures de gestion sont à envisager, dont l’ampleur est à affiner à l’issue de l’étude environnementale"). Le secteur de Sentein est classé en E [6].
(xiii) La laverie de La Plagne a traité par méthodes gravimétriques les minerais issus des mines d'Urets. Elle a fonctionné à partir de 1897 jusqu'à environ 1910 [1]. Une extension des infrastructures de transport du minerai jusqu'à la laverie d'Eylie a permis d'y traiter le minerai jusqu'en 1914 (iii).
(xiv) Selon GEODERIS (2015), s'agissant de la teneurs en métaux et métalloïdes dans les sédiments du Lez, "hormis la mesure réalisée sur un sédiment identifié dans le lit de l’Isard, hors influence minière [...] (concentration mesurée de 73 mg/kg en zinc et concentrations inférieures aux seuils de détection analytiques pour le plomb et l’arsenic), les sédiments analysés présentent systématiquement des valeurs élevées en plomb et en zinc, avec des concentrations variant respectivement de 148 à 1110 mg/kg, et de 576 à 2499 mg/kg" ([1], p.217).
(xv) En 2016, 105 495 EUR de travaux ont été réalisés pour la mise en sécurité à Sentein [11]. En 2017, 51 321 EUR ont été consacrés à l'évacuation des transformateurs des anciens sites minier d'extraction [12].
(xvi) "[...] sont stockés à l’aplomb du barrage de Bonac d’importantes quantités de sédiments qui contiennent une partie de résidus miniers. Actuellement, le lit de la retenue est constitué de graviers et galets centimétriques, recouverts par plusieurs dizaines de centimètres de matériaux fins, qui ont pu être observés, suite à une vidange du barrage (le 26/08/2013) [...]. L’horizon de surface est riche en plomb et en zinc, avec des concentrations allant respectivement jusqu’à 1220 mg/kg et 378 mg/kg. L’horizon sous-jacent présente des concentrations pour ces substances encore supérieures, allant respectivement jusqu’à 1910 mg/kg et 625 mg/kg." ([1], p.557).
► Bibliographie citée
[1] GEODERIS, (2015). Étude sanitaire et environnementale sur le secteur minier de Sentein, bassin versant du Lez (09). Rapport S2015/046DE-15MPY24010. Lien.
[2] Bosquet, L. (2013). Entre cimes et abîmes. L’empreinte des mineurs pyrénéens. Le Pas d’oiseau éditions.
[3] Santamaria, J., Ros, E. & Gavaldà, J. (2008). Era Mineria dera Val d'Aran. Conselh Generau d'Aran.
[4] Carquet, A. & Féraud, J. (2001). Étude bibliographique des mines de zinc et de plomb de Sentein et Bulard (Ariège) en appui aux études archéologiques des concessions minières orphelines : reconnaissance, potentiel minier et géologie. Rapport BRGM RP-50917-FR. Lien.
[5] Fénelon, P. (1955). Les mines françaises de plomb et de zinc. Revue géographique des Pyrénées et du Sud-Ouest, 26(4), pp. 272-291. Lien.
[6] GEODERIS. (2013). Inventaire des dépôts issus des exploitations minières selon l’article 20 de la Directive 2006/21/CE - Monographie sur la région Midi-Pyrénées - Volet "métallique". Rapport N2012/038DE-12NAT2121. Lien.*
[7] Préfecture de l'Ariège (2017). Note de présentation sur les travaux de mise en sécurité réalisés en 2016 et prévus les années ultérieures. Lien.
[8] Santé publique France. (2016). Dépistage du saturnisme des populations résidant sur le secteur minier de Sentein, bassin versant du Lez - Département de l'Ariège (09) - Juin-juillet 2016 - Rapport de campagne. Lien.
[9] Préfecture de l'Ariège (2017). Présentation publique des résultats et conclusions des prélèvements réalisés sur les animaux - 23 mars 2017 à Sentein. Lien.
[10] Préfecture de l'Ariège (2017). Actualité datée du 13 avril 2017 - Secteur minier de Sentein conclusions des évaluations sanitaires. Site internet : https://www.ariege.gouv.fr/Actualites/Secteur-minier-de-Sentein-conclusions-des-evaluations-sanitaires/, consulté le 01/03/2022.
[11] Mauroux, B. & Nédellec, J-L. avec la collaboration de Bonjour, A., Brigati, B., Gannard, J-C., Genaudeau, M., Huron, J., Le Loher, F., Pierre, A. & Hoang, V. (2017). Compte rendu d'activité DPSM - Année 2016 - Région Occitanie. Rapport BRGM RP-66933-FR. Lien.
[12] Mauroux, B. & Nédellec, J-L. avec la collaboration de Arathoon, L., Bézèlgues-Courtade, S., Bonjour, A., Brigati, B., Delmas, B., Hoang, V., Huron, Y., Lauger, A., Le Loher, F. & Pierre, A. (2018). Compte rendu d'activité DPSM - Année 2017 - Région Occitanie. Rapport BRGM RP-68402-FR. Lien.
* Ce rapport, portant sur les résultats de l'inventaire des dépôts de déchets miniers sur la région (auquel ont été jointes les fiches détaillées par dépôt inventorié), a été transmis le 02/06/2020 à SystExt et ses partenaires par GEODERIS. Ceci fait suite à un courrier initial de E. Feyeux à GEODERIS en date du 28/01/2020, à une saisine de la Commission d'accès aux documents administratifs (CADA) le 04/03/2020 ainsi qu'à un courrier de la CADA à GEODERIS en date du 19/05/2020.
► Bibliographie non citée
• Mauroux, B. & Nédellec, J-L. avec la collaboration de Arathoon, L., Bézèlgues-Courtade, S., Brigati, B., de Lary de Latour, L., Delmas, B., Hoang, V., Huron, Y., Imbert-Pellisier, G., Lauger, A., Pierre, A. & Plancke, E. (2019). Compte rendu d'activités DPSM - Région Occitanie - Année 2018. Rapport BRGM RP-68984-FR. Lien.
• Nédellec, J-L. & Rivet, F. avec la collaboration de Arathoon, L., Bézèlgues-Courtade, S., Brigati, B., de Lary de Latour, L., Delmas, B., Fournely, J., Hoang, V., Huron, Y., Labastie, A., Imbert-Pellissier, G., Plancke, E. & Raoulx, F. (2020). Compte rendu d'activités DPSM - Région Occitanie - Année 2019. Rapport BRGM RP-69882-FR. Lien.