SystExt, en partenariat avec le Centre international de culture populaire (CICP), organise une conférence destinée à faire la lumière sur les violations de droits humains en contexte d'exploitation minière industrielle le samedi 23 novembre 2024 à Paris. Alors que les entreprises minières s’engagent de plus en plus à respecter les droits fondamentaux et à mettre en œuvre les "bonnes" et "meilleures" pratiques associées, ces violations se multiplient à l'international. De plus, l'intérêt récent pour les filières minérales que suscitent les scénarios de "transition" énergétique fait craindre une aggravation de ces situations inacceptables. Il est donc crucial d’écouter le témoignage des personnes affectées et de documenter les réelles implications de nos modes de production. SystExt et le CICP sont ainsi honorés d'accueillir Georgine KENGNE DJEUTANE, économiste, coordinatrice senior, spécialisée en droit des femmes dans les industries extractives à WoMin African Alliance, Cameroun.
Le monde a besoin de toute urgence d’une élimination juste et rapide des combustibles fossiles et d’une transition vers un système énergétique mondial 100 % renouvelable et sans émission de carbone. Aucun retard n’est justifié. L’idée selon laquelle nous devons donner la priorité soit à la lutte contre le changement climatique, soit à la défense des droits humains, est un faux débat. Les engagements en matière de changement climatique ne seront respectés que lorsque les droits humains, l’équité et l’inclusion seront au cœur des politiques climatiques. Le lancement du groupe du secrétaire général des Nations unies sur les minéraux essentiels à la transition énergétique (UN Panel on Critical Energy Transition Minerals) est l’occasion d’élaborer des principes mondiaux visant à garantir que l’approvisionnement en minéraux nécessaires à l’élimination progressive des combustibles fossiles favorise la justice, l’équité et les droits humains. Pour aider à guider le groupe du secrétaire général des Nations unies, nos organisations, qui rassemblent plus de 286 groupes de peuples autochtones, des syndicats et des activistes du travail, des organisations de défense du climat, des droits humains, des droits des enfants et de justice environnementale ont élaboré des recommandations décrivant comment une approche transformatrice des minéraux de transition peut contribuer à un système énergétique mondial plus juste.
L'association franco-congolaise Génération lumière organise une marche pour la paix en République Démocratique du Congo (RDC) et contre l’extractivisme, du 22 juin au 16 juillet 2024, de Besançon au Parlement européen de Strasbourg. Cette marche se donne notamment pour objectif d'alerter sur les conséquences de la ruée vers les métaux et des implications de la nouvelle loi européenne sur les matières premières stratégiques dans ce cadre. SystExt a apporté son soutien à cette marche dont les objectifs sont détaillés dans la présente tribune.
Les organisations internationales, nationales ou régionales recommandent fréquemment de prioriser la mine secondaire (valorisation des ressources métalliques contenues dans les produits mis au rebut) par rapport à la mine primaire (valorisation des ressources métalliques contenues dans les minerais). Dans ce cadre, la mine secondaire et les concepts associés sont régulièrement présentés comme un modèle alternatif permettant de maintenir les paradigmes socio-économiques actuels tout en réduisant la consommation de ressources et l’empreinte environnementale associée.
Depuis 2020, SystExt mène un projet d’étude sur l’après-mine en France métropolitaine, afin de mettre en exergue les réalités humaines, sociales et environnementales associées. Le projet souhaite également mettre en lumière l’insuffisance des réponses apportées par l’État français, au travers de trois objectifs : (1) permettre aux populations affectées de s’exprimer et d’être reconnues ; (2) permettre à tout citoyen d’avoir accès aux informations afférentes aux pollutions minières et aux risques ; (3) permettre aux victimes d’obtenir réparation et de recouvrer des conditions de vie saine.
Depuis juin 2020, SystExt mène un projet d’étude qui souhaite mettre en exergue les réalités de l’après-mine en France métropolitaine. Dans ce cadre, une vingtaine d’anciens sites miniers dans une dizaine de départements ont été visités, afin de rencontrer des populations affectées ainsi que les autres acteurs concernés par les pollutions minières. SystExt revient sur ces territoires miniers au travers d'une seconde série de 6 reportages de terrain, étayés de recherches bibliographiques. Sixième et dernier volet de cette nouvelle série : Viviez dans l'Aveyron, ancienne usine métallurgique de zinc.
Depuis juin 2020, SystExt mène un projet d’étude qui souhaite mettre en exergue les réalités de l’après-mine en France métropolitaine. Dans ce cadre, une vingtaine d’anciens sites miniers dans une dizaine de départements ont été visités, afin de rencontrer des populations affectées ainsi que les autres acteurs concernés par les pollutions minières. SystExt revient sur ces territoires miniers au travers d'une seconde série de 6 reportages de terrain, étayés de recherches bibliographiques. Cinquième volet de cette nouvelle série : Planioles dans le Lot, anciennes mines de plomb-zinc.
Depuis juin 2020, SystExt mène un projet d’étude qui souhaite mettre en exergue les réalités de l’après-mine en France métropolitaine. Dans ce cadre, une vingtaine d’anciens sites miniers dans une dizaine de départements ont été visités, afin de rencontrer des populations affectées ainsi que les autres acteurs concernés par les pollutions minières. SystExt revient sur ces territoires miniers au travers d'une seconde série de 6 reportages de terrain, étayés de recherches bibliographiques. Quatrième volet de cette nouvelle série : anciennes mines de plomb-zinc-argent du secteur d'Asprières, dans l'Aveyron et le Lot.
Depuis juin 2020, SystExt mène un projet d’étude qui souhaite mettre en exergue les réalités de l’après-mine en France métropolitaine. Dans ce cadre, une vingtaine d’anciens sites miniers dans une dizaine de départements ont été visités, afin de rencontrer des populations affectées ainsi que les autres acteurs concernés par les pollutions minières. SystExt revient sur ces territoires miniers au travers d'une seconde série de 6 reportages de terrain, étayés de recherches bibliographiques. Troisième volet de cette nouvelle série : Pontgibaud dans le Puy-de-Dôme, ancien complexe minier et métallurgique de plomb-argent.
Depuis juin 2020, SystExt mène un projet d’étude qui souhaite mettre en exergue les réalités de l’après-mine en France métropolitaine. Dans ce cadre, une vingtaine d’anciens sites miniers dans une dizaine de départements ont été visités, afin de rencontrer des populations affectées ainsi que les autres acteurs concernés par les pollutions minières. SystExt revient sur ces territoires miniers au travers d'une seconde série de 6 reportages de terrain, étayés de recherches bibliographiques. Deuxième volet de cette nouvelle série : Saint-Martin dans la Loire, ancienne mine de plomb.